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ma life sur le net

ma life sur le net
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19 mars 2008

Se faire lâcher...

Se faire lâcher, ça fait mal, surtout lorsque l'on est très attaché à la personne qui nous lâche. Je ne parle pas seulement en amour, même si durant l'adolescence, les peines de coeur sont les plus fréquentes. En amitié aussi, nous pouvons être déçus, surtout lorsqu'on s'aperçoit que la personne en qui nous avions confiance n'attendait que le moment propice pour faire un strike et foutre toute votre année scolaire en l'air par des rumeurs et des âneries exprimées à tout bout de champs. D'autant plus que les rumeurs continuent à exister après le départ de celui qui les a lancées, voire même suivent leurs victimes lorsqu'elles passent du collège au lycée, changent d'établissement... Pour ça, il suffit d'une personne connaissant la rumeur qui aille au même endroit que la victime, et c'est une nouvelle année de railleries et de quolibets pour cette personne, qui ne peut même pas se défendre à cause du fameux "qui nie vigoureusement ment".
Dans ces situations, j'ignore ce qui est le pire : être victime d'une rumeur lancée par quelqu'un en qui on avait confiance ou bien être victime d'une rumeur tout court. Mais je m'éloigne du sujet.

Se faire lâcher, disais-je, est douloureux. Vous rencontrez quelqu'un, le courant passe plutôt bien, vous vous liez d'amitié, vous ne vous quittez plus, puis du jour au lendemain, pour un petit différent que d'autres jugeraient comme une "futilité", vous ne vous parlez plus. La communication est brouillée, les "inséparables" se sont séparés. Dans ce genre de situations, il ne faut pas se focaliser sur l'incident qui a mis le feu aux poudres, mais sur ce qui s'est passé avant et à quoi nous n'avons pas forcément fait attention. Il faut chercher le moment à partir duquel nos comportements se sont modifiés, et pourquoi ils se sont modifiés. C'est ainsi, en remontant d'une certaine manière le cours du temps, que l'on trouve la faille, même si des fois, il est trop tard pour la combler, ou alors si elle est trop profonde pour l'être... Il faut savoir se remettre en cause pour avancer dansd la vie, et il faut aussi tirer un enseignement de sesc échecs, c'est à ça qu'ils servent. Même s'il est souvent difficile de se remettre en cause lors de la perte d'un(e) ami(e), il est très facile, en revanche, de se trouver tous les défauts du monde lorsqu'il s'agit d'une déception amoureuse. Les questions les plus courantes que l'on se pose sont "Qu'est-ce qu'il veut que je n'ai pas ?", "Suis-je si moche que ça ?", "Suis-je trop gamine pour lui ?" et j'en passe... Mais il faut savoir que la plupart des adolescents se focalisent sur le physique et seraient capables de sortir avec une vraie peste du moment qu'elle soit jolie. Sans oublier qu'à 15-16 ans, c'est l'âge bête (pour rester polie) et qu'ils sont tout de même plus intéressés par le sexe que par leurs études. Bien évidemment, il s'agit ici d'une généralité et je ne doute pas qu'il y ait des exceptions. Mais les mecs qui sortent avec des filles juste pour coucher, moi je dis NON... Nous sommes des êtres vivants, pas des objets qu'on prend et qu'on jette quand bon nous semble... Il faut savoir respecter les femmes, et non pas les dominer comme on domine un animal...

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17 mars 2008

Bienvenue...

Bon, nouveau blog, pas forcément des nouveaux sujets et... euh... non, pas une nouvelle année...

Changement radical d'univers. D'une ado plutôt pleine de vie (un peu trop, même), je me suis métamorphosée en grincheuse (nerci beaucoup mégane !!!)... Fini les couleurs pastelles et les histoires à la con. Ce blog va être entièrement en rouge et noir (le sang et les ténèbres)... Vous aurez droit à des coups de gueule monstres, mais aussi à quelques coups de coeur, mais rares...

Petite introduction qui réfléchit bien mon humeur du moment... Hum...

Quand tout s'effondre autour de toi, tu perds pied et peine à te relever. De soutien tu as besoin, mais nul ne te tend la main. Tu broies du noir et t'en prends à tout le monde, tous tes amis te tournent le dos. Perdu dans cet univers immonde, on te poignarde dans le dos. Quand l'idée de la mort t'effleure l'esprit, tu te raccroches à cet infime espoir, celui quer tout va s'arranger, que quelqu'un va venir t'aider. Et pourtant, chqaue jour qui passe, on te crache à la figure, on te bat, on t'insulte. Toi, tu te relèves. Malgré toutes les claques que tu te te prends, tu te relèves et te remets en mouvement. Et pourtant, alors que tu te crois abandonné de tous, au plus profond de ton coeur, une étincelle brille telle une étoile. Tu l'as oubliée à cause de la distance qui t'en sépare. En te repliant sur toi-même, tu l'as oubliée, mais elle, elle continue à croire en toi et à te voir telle que tu étais lorsque vous vous êtes rencontrés pour la première fois. N'oublie jamais cette chose précieuse et rare, merveilleuse et horriblement difficile à trouver : la GRANDE amitié, celle qui ne te lâches pas dès que l'occasion s'en présente, celle qui désire être avec toi quand les autres sont présents plutôt qu'en leur absence, celle qui n'a pas honte de traîner avec toi parce que tout ce qui lui importe, c'est ton amitié, celle qui t'ouvre les bras lorsque les autres te ferment les leurs, celle qui respecte ton silence quand tu n'as pas envie de parler, celle qui t'épaule en secret, celle sur laquelle tu peux toujours compter, même lorsque tu as l'impression que tous te rejettent, celle à laquelle tu n'as pas peur d'ouvrir ton coeur et de déballer tout ce que tu ressens, parce que tu sais qu'elle te comprend et qu'elle ne se moquera pas, et que par conséquent, elle est largement au-dessus des railleries qui caractérisent habituellement ceux de ton âge et de l'adolescence... Cette personne que tu appelles "meilleure amie", il faut que tu sois, toi aussi, présent de cette façon. La proximité permanente n'est pas obligatorie, juste un coup de fil, un e-mail, un cadeau lorsque l'occasion se présente, une conversation msn régulièrement, et, surtout, des délires qui n'appartiennent qu'à vous, des histoires que tu ne partagent qu'avec cette personne, car c'est avec elle que tu veux rêver, et pas avec quelqu'un qui t'appelle "amie" pour ensuite te cracher à la figure à la moindre petite anicroche. Cette personne doit être judicieusement choisie, car c'est celle à qui tu accorderas quasiment toute ta confiance... Si tu ne la lui accorde pas entièrement. La mienne, il y a presque cinq ans que je l'ai choisie. Elle habite affreusement loin et je ne la vois que rarement, mais elle sait m'écouter et être présente en cas de coup dur, et j'aimerais être capable d'en faire de même, être capable de lui rendre la pareille, être présente pour elle à n'importe quel moment, pour une joie ou un coup dur, pour une grande nouvelle ou une banalité de la vie courante, pour l'entendre parler ou au contraire, rester en silence assise à ses côtés... Mais plus je cherche à atteindre ce but, plus j'ai l'impression de m'en éloigner... Plus je cherche à me rapprocher d'elle, plus j'ai l'impression qu'on se quitte lentement, mais sûrement... Et c'est cette sensation qui est la plus désagréable, celle que tu es en train de perdre ce qui te tiens le plus à coeur... Alors si tu éprouves cette sensation, ne t'accroches pas désespérément à cette personne, mais attends de voir l'évolution des choses... Si tu as de moins en moins de nouvelles, alors rappelle ta(ton) meilleur(e) ami(e) à la même fréquence qu'avant, essaie de trouver de nouvelles choses à partager, mais ne t'apitoie pas sur ton sort... Peut-être que vous vous cherchez mutuellement, sans parvenir à vous trouver... Les vides font partie de la vie, mais il ne faut pas couper les ponts, car dès lors, c'est sans issue. Si tu tiens vraiment à cette personne, ne la laisse pas tomber, prend régulièrement de ses nouvelles, et si tu sens qu'elle n'a pas envie de parler, ne la force pas, laisse l'autre faire le premier pas. Nous avons tous des coups de blues de temps en temps, et même s'ils sont souvent passagers, certains durent plus longtemps que d'autres. Mais si un jour cette personne n'a pas envie de parler, et que durant plus d'une semaine tu n'as pas de nouvelles, alors pose-toi la question : est-ce que vous avez toujours cette complicité qui vous liait autrefois ? Est-ce que vous partagez toujours des moments de complicité au cours desquels vous vous retrouvez véritablement ? Si ce n'est pas le cas, renoue le contact, trouve des originalités qui te font autant plaisir à toi qu'à celui ou celle que tu veux conserver, voire m^mee plus à lui qu'à toi. Montre que tu ne veux aps le perdre et que tu a peur de cette réalité qui vient de te heureter de plein fouet. Parles-en lui, je pense que c'est la meilleure chose à faire, parler. Mais si vraiment tu vois que quoi que tu fasses, tout te glisse des doigts alors demande-toi si vos points de vue ne divergent pas, si vous n'avez pas pris des chemins opposés... Si c'est le cas, laisse le temps faire les choses et ne force pas la main à ton (ta) meilleur(e) ami(e)...

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